Nur Headphones
Nur Headphones est l'oeuvre d'Angelo De Mattia, un artiste-peintre vivant dans la région du Latium, au nord du Lac de Bacciano. Nous connaissons Angelo pour lui avoir prêté des casques et intra-auriculaires comme cela arrive plusieurs dizaines de fois chaque année. À cette époque, nous avions été touché par la gentillesse de cet homme qui ne savait plus comment nous remercier pour ces prêts, allant même jusqu'à nous proposer l'une de ces oeuvres en guise de remerciement. Un gentleman, on vous le dit. Nous étions loin de nous douter qu'il échafaudait déjà la conception d'un casque. Pourtant, le processus resta secret de longs mois jusqu'à l'éclosion du premier prototype qui faisait preuve, déjà, d'une incroyable maturité de conception et de fabrication. Mais il fallut attendre et attendre encore, qu'Angelo accepte de nous faire parvenir son modèle de série. Recueillant d'innombrables retours d'expérience de la communauté italienne de l'écoute au casque, et du monde entier lors des salons audio, s'entourant d'universitaires et de techniciens, Angelo était viscéralement porté par un désir d'excellence qui a repoussé sans cesse le moment du lancement officiel. Puis débuta l'aventure du 1er casque de la marque, l'Harmonia, doté de transducteurs orthodynamiques de toute dernière génération et fabriqués sur cahier des charges, et d'un astucieux systèmes de filtres mécaniques. Le succès est alors immédiat, fulgurant. Pour clore cette présentation, citons Angelo dans le texte, car ce que nous devons retenir est moins le chemin que la finalité, pour une fois. "Je m'appelle Angelo De Mattia. Je suis artiste-peintre et mélomane. J'ai toujours aimé la musique comme une voie qui peut nous mener au plus profond de nous-mêmes. Il y a plusieurs années, j'ai développé une passion pour l'écoute au casque car elle avait le don de me transporter dans mes méditations. C'est précisément lors d'un moment de détente que le désir de créer un casque doté des caractéristiques qui me sont chères s'est manifesté avec force." Grazie mille, Angelo.