




Joe Skubinski est l’éminence grise des casques ABYSS. Rien de conventionnel ne sort du cerveau de cet ingénieur. Jugez plutôt : Après un parcours de quelques années chez le facteur d’enceintes Bowers & Wilkins où il s’occupe de câblage et de filtres, Joe vole de ses propres ailes en créant la société JPS Labs en 1990. Il y développe un filtre actif externe (Golden Flute) permettant aux enceintes de fouiller les basses fréquences en-deçà de leur limitation théorique. Peu après, il défraie la chronique en lançant une série de câble brevetée réalisée à partir d’aluminium (les SuperConductor) à contre-courant d’un marché qui ne jure que par l’argent et le cuivre. Cette série de câbles fait encore le bonheur des audiophiles avec des performances formidables en rapidité, bande-passante et transparence. Dans ces deux faits d’armes, nous voyons déjà l’affinité de Mr Skubinski pour une écoute dynamique, analytique et aux solides fondations. Arrive alors le casque Abyss. Lancé en salon CanJam 2012, ce casque planar-magnétique au chassis et au prix totalement ovniesques fascine la communauté audiophile autant qu’il divise. Avec les années, l’équipage technologique du 1266 évolue avec tant de brio que ce casque culmine aujourd’hui au sommet de la hiérarchie mondiale. ABYSS propose aujourd’hui 3 modèles : sa majesté le 1266 (TC dans sa plus récente itération), les Diana V2 et Phi qui sont, à leurs façons, de merveilleux ambassadeurs de la maison Skubinski.
- Impédance : 32 ohms
- Sensibilité : 91 dB/mW
- Bande passante : 6 Hz - 26 kHz
- Chassis : Aluminium ; Revêtement céramique
- Finition chassis : Titanium ; Bronze foncé
- Tige de réglage : Carbone
- Pads : Cuir Nappa perforé ; Dernière génération (DMS)
- Câble : 1,5m avec terminaison XLR4 6,35mm 3,5mm ou Pentaconn au choix
- Poids : 350 gr hors câble
Nous vous invitons à consulter la page du Diana Phi pour faire connaissance avec ce casque d'exception. Parlons ici des bénéfices apportés par le câble SuperConductor. La scène sonore gagne en précision, l'aération entre les partitions est un peu plus importante. Gardons toutefois à l'esprit que le Diana Phi est bien loin d'en manquer avec son câble de série mais avec le SuperConductor, le Diana Phi s'approche un peu plus de l'espace remarquablement défini et étagé du 1266 qui coiffe la gamme Abyss.
C'est en matière de timbres que le SuperConductor apporte des évolutions particulièrement notables : les médiums et bas médiums sont à la fête. Les bas médiums sont plus nuancés et organiques dans leurs textures, ce qui s'entend nettement sur des pièces de contre-basses et avec la main gauche des pianistes. Cette beauté des timbres touche aussi les médiums qui par ailleurs gagnent en présence. Du coup, les voix sont plus humaines et émouvantes sur les interprétations en petites formations. Et de manière générale, lorsqu'une masse orchestrale se déchaîne, les médiums répondent présents sans lâcher de place aux extrémités de la bande passante.
Le SuperConductor est un câble merveilleux mais il y a un hic, son prix. Nous ne commenterons pas la légitimité de ce prix, mais nous savons que peu d'audiophiles passeront à l'acte bien que ce câble fasse invariablement rêver. C’est pourquoi nous proposons le Diana Phi et le SuperConductor dans une sorte de pack Complete à prix spécial, une démarche qu'Abyss réserve uniquement au 1266. Cette absence est désormais comblée. L’ensemble Diana Phi et SuperConductor forme un véritable « end game » pour qui aime une écoute analytique et expressive du plus haut niveau.
ABYSS
PACK DIANA PHI + SuperConductor
Casque planar-magnétique ouvert. Pack composé du Diana Phi et du câble SuperConductor en 1,8m à prix exceptionnel (Vendu séparément, ce câble est au prix public de 1850€).
Livraison sous 2 semaines.

Joe Skubinski est l’éminence grise des casques ABYSS. Rien de conventionnel ne sort du cerveau de cet ingénieur. Jugez plutôt : Après un parcours de quelques années chez le facteur d’enceintes Bowers & Wilkins où il s’occupe de câblage et de filtres, Joe vole de ses propres ailes en créant la société JPS Labs en 1990. Il y développe un filtre actif externe (Golden Flute) permettant aux enceintes de fouiller les basses fréquences en-deçà de leur limitation théorique. Peu après, il défraie la chronique en lançant une série de câble brevetée réalisée à partir d’aluminium (les SuperConductor) à contre-courant d’un marché qui ne jure que par l’argent et le cuivre. Cette série de câbles fait encore le bonheur des audiophiles avec des performances formidables en rapidité, bande-passante et transparence. Dans ces deux faits d’armes, nous voyons déjà l’affinité de Mr Skubinski pour une écoute dynamique, analytique et aux solides fondations. Arrive alors le casque Abyss. Lancé en salon CanJam 2012, ce casque planar-magnétique au chassis et au prix totalement ovniesques fascine la communauté audiophile autant qu’il divise. Avec les années, l’équipage technologique du 1266 évolue avec tant de brio que ce casque culmine aujourd’hui au sommet de la hiérarchie mondiale. ABYSS propose aujourd’hui 3 modèles : sa majesté le 1266 (TC dans sa plus récente itération), les Diana V2 et Phi qui sont, à leurs façons, de merveilleux ambassadeurs de la maison Skubinski.
- Impédance : 32 ohms
- Sensibilité : 91 dB/mW
- Bande passante : 6 Hz - 26 kHz
- Chassis : Aluminium ; Revêtement céramique
- Finition chassis : Titanium ; Bronze foncé
- Tige de réglage : Carbone
- Pads : Cuir Nappa perforé ; Dernière génération (DMS)
- Câble : 1,5m avec terminaison XLR4 6,35mm 3,5mm ou Pentaconn au choix
- Poids : 350 gr hors câble
Nous vous invitons à consulter la page du Diana Phi pour faire connaissance avec ce casque d'exception. Parlons ici des bénéfices apportés par le câble SuperConductor. La scène sonore gagne en précision, l'aération entre les partitions est un peu plus importante. Gardons toutefois à l'esprit que le Diana Phi est bien loin d'en manquer avec son câble de série mais avec le SuperConductor, le Diana Phi s'approche un peu plus de l'espace remarquablement défini et étagé du 1266 qui coiffe la gamme Abyss.
C'est en matière de timbres que le SuperConductor apporte des évolutions particulièrement notables : les médiums et bas médiums sont à la fête. Les bas médiums sont plus nuancés et organiques dans leurs textures, ce qui s'entend nettement sur des pièces de contre-basses et avec la main gauche des pianistes. Cette beauté des timbres touche aussi les médiums qui par ailleurs gagnent en présence. Du coup, les voix sont plus humaines et émouvantes sur les interprétations en petites formations. Et de manière générale, lorsqu'une masse orchestrale se déchaîne, les médiums répondent présents sans lâcher de place aux extrémités de la bande passante.
Le SuperConductor est un câble merveilleux mais il y a un hic, son prix. Nous ne commenterons pas la légitimité de ce prix, mais nous savons que peu d'audiophiles passeront à l'acte bien que ce câble fasse invariablement rêver. C’est pourquoi nous proposons le Diana Phi et le SuperConductor dans une sorte de pack Complete à prix spécial, une démarche qu'Abyss réserve uniquement au 1266. Cette absence est désormais comblée. L’ensemble Diana Phi et SuperConductor forme un véritable « end game » pour qui aime une écoute analytique et expressive du plus haut niveau.